Ah, bah merci pour mon prénom, même s'il me fait souffrir le martyr... Et je suis surprise par maman qui a rouspété parce que j'ai changé de page au moment où elle arrivait alors que je tapais comme une folle... Elle me suspecte du pire, pourvu qu'elle ne trouve jamais ce que je fais ici et alleurs....je me ferais tuer.... Elle dit qu'elle va mettre un contrôle parentale...
Sinon, vous voulez un autre texte de moi (seulement pour les courageux!) ? Début=autobio....

Alice Au Pays Des Merveilles, Conte
Littéraire Et Musical Des Temps Modernes.

Je dédie cela à toutes les artistes de ce monde et à toutes « celles qui sont
différentes », dans tous les sens du terme... Ecoutez, voici l'histoire de deux de vos
semblables :

- «Non, non et non, Alice! C'est hors de question! Tu ne toucheras jamais à tout ça tant que tu seras
sous mon toit! C'est malsain, c'est dangereux, il faut éviter ces choses-là! Il ne faut pas fréquenter ce
milieu! », hurlait sa mère en balançant violemment quelques objets sur la table...
Alice était assise dans un fauteuil, dans un coin du salon, immobile... Penaude, elle avait la tête
baissée et regardait ses pieds, rougissante et les larmes aux yeux...
Sa mère prit le livret d'un CD, et commença à lire, scandalisée :
- « Alors... « Tu n'es pas tout ce qu'on dit de toi, la menteuse, la boudeuse, la voleuse, la râleuse, la
tricheuses, l'emmerdeuse, la chieuse... Amanite phalloïde, dynamite, arsenic, plastique, ciguë,
cyanure! », elle tourna la page : Voyons la suite : « Je t'aime à vomir... Faites alors, mon Dieu, que
du fond de mon coeur, jaillisse le si peu que j'avais de bonheur, et que mon crâne fendu vomisse les
corbeaux... Ce chien mauve qui s'envole... Je suis ta chère fille morte et enterrée... Brulez-moi, au
vent, jetez mes cendres! Noyée au fond de mon étang... C'est une habitude délétère d'étrangler ceux
que l'on préfère... Sur la tombe d'Amélie Nothomb... Je voudrais être de l'autre côté... », elle reposa
le livret en soufflant...
- « N'importe quoi! »
- « Oh, mais ce n'est que de l'imaginaire, ce n'est pas si méchant...! », balbutia Alice.
- « Ah bon? Alors, la mort, c'est pas une réalité??? Les grossièretés « chieuse, et cetera », ce sont
des mots inventés? Vomir, c'est quelque chose d'inventer aussi? Tuer aussi? Ça n'existe pas les
amanites phalloïdes, le plastique, le cyanure...? D'accord, un chien mais qui vole et des revenants,
c'est inventé, mais c'est totalement absurde! »
- « Mais... C'est du second degré... Ce ne sont que des mots, maman, c'est moins grave que...euh...
moins choquant que... les gens qui s'embrassent sur la bouche dans les rues et font des doigts
d'honneur, par exemple, tiens! C'est rien, rien, rien... », Alice commençait à s'emporter...
- « Tu ne me réponds pas d'abord!!!!!!! Et puis, c'est franchement morbide, dégoûtant, tout ce que tu
veux, ce n'est pas sain! Tu n'as que quatorze ans, ce n'est pas de ton âge! Et puis, ça ne fait vraiment
pas sérieux! »
- « Mais... »
- « Tais-toi et ne me réponds pas ou tu as une baffe!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je ne fais pas cela pour
t'embêter, c'est pour ton bien!!! Je ne veux que tu sois influencée, je ne veux pas que tu changes,
que tu deviennes mauvaise, que tu sois mal dans ta peau, que tu souffres, que tu décales de ton
époque et du monde actuel! Comprends-moi, en tant que mère, J'AI PEUR POUR TOI!!!!! »
Un silence pesant s'abattit dans le salon... Alice, désespérée, se prit la tête entre les mains, cette tête
pleine de tant de paroles qui résonnaient, cognaient en tout sens, l'obsédait, mais lui donnait envie
de fredonner pour s'en libérer, peu importe la situation... Ces fameuses paroles qu'elle avait
découvertes il y a quelques jours, quelques jours depuis lesquels elle ne se sentait plus qu'en demivie
tant tout, pour elle, semblait se réduire à ces étranges phrases... Des phrases qu'elle écoutait tous
les soirs en cachette, bravant l'autorité parentale, et qui, tout le reste de la journée, l'entravaient dans
la moindre chose qu'elle tentait de faire, se rappelant incessamment à elle... Elle trottaient de façon
constante dans sa tête, et les répétitions hypnotisaient presque la jeune fille, l'empêchant de faire
toute autre action à l'exception de fredonner en silence... Elle n'avait plus goût à rien d'autres qu'à
ces chansons, à côté desquelles tout lui paraissait horriblement fade, elle qui avait pourtant toujours
était pleine de vie et avait toujours participé à des tas d'activités en tout genre...
- « Alice, regarde-moi, je t'aime, je suis inquiète, je suis inquiète, ça m'angoisse...! ».
Elle leva ses grands yeux verts brillants de larmes vers sa mère, et commença à sangloter...
- « Ma fille, je ne supporterai jamais cela!! Oublie-moi ces bêtises, d'accord? ».
-« Mais ce sont les seules choses qui m'intéressent maman... Tu ne veux pas que je reste sans rien,
assise sur une chaise sans bouger en silence quand même???!! »
- « Mais allons, ne dis pas de sottises!! Et tes cours de danse? Et le festival de ton association ce
week-end? Et tes cours de dessin? Et tes jeux vidéos et tes séries TV? Tes livres, tes BD? Tes
amis?? Faire les magasins? Sortir? Simplement tes devoirs? Je ne sais pas moi, cette manifestation
artisanale qui a lieu en avril et que tu prépares depuis la rentrée? Tu ne veux plus rien faire, ça ne
t'intéresse plus??? Que t'arrive-t-il? ».
- « Je veux bien écouter un peu de musique, mais s'il te plaît, laisse-moi écouter au moins un titre,
juste celui sur Amélie Nothomb, et après, promis, je fais mon commentaire d'histoire et je suis sage
toute la soirée! »
- « Ah ça non, tu le sais très bien! Ecoute plutôt ceux que tu aimes d'habitude, ça te distraira, oublie
ces idioties! »
Alice finit par s'emporter, se leva, et se jeta rageusement vers la pile d'objets sur la table :
- « JE LE VEUX, j'ai besoin de nouveautés! QUE TU SOIS D'ACCORD OU NON, JE LE
VEUX!!!! »
Sa mère lui arracha méchamment des mains le CD qu'elle venait de reprendre et lui cracha à la
figure :
- « Trouve-toi d'autres nouveautés que ça, des choses descentes, convenables!! Je ne veux pas que
tu deviennes comme ces deux filles qui trainent toujours devant la porte du lycée, ces deux...
tarées!!! Et crois-moi qu'avec ces idées, tu en prends le sens! »
- « Maman!!!!! Mais elles sont super belles tu veux dire!!!!!!!!!!!! Ne les traite pas, ce sont des
merveilles! On dirait qu'elles ne sont pas réelles, qu'elles sortent tout droit des images d'un livre de
collection! Si tu savais comme je les envie, comme elles me plaisent et comme j'adorerai justement
leur ressembler!!!!!! ».
Et là, ce fut inévitable, instantané, sous le coup de la colère, sa mère lui retourna une grande gifle...
- «File dans ta chambre, je ne veux plus te voir, et pas de discussion!! Folle à lier!! »
Alice grimpa l'escalier en larmes et se laissa tomber sur son lit... Elle pleurait toute les larmes de
son corps... Elle aurait donné tout ce qu'elle avait pour rencontrer au moins une personne sur terre
capable de comprendre ses goûts récents, et surtout, pour pouvoir faire ce qu'elle aimait, en serait-ce
que très peu de temps, mais au moins, écouter un peu les choses qui lui semblaient être les plus
merveilleuses qu'ils soient...
En sueur et sanglotante, elle se dirigea vers la fenêtre... Elle regardait tristement et pensivement la
fin d'après-midi ensoleillée, faussement printanière mais glaciale de ce vendredi de février,
illuminant les premières pousses qui pointaient sous la terre du jardin de son père... Et elle s'aperçut
alors que, dans sa grande douleur, elle avait tout de même, et surtout, envie de chanter... De chanter
toutes les paroles des chansons les plus décalées mais les plus magiques de l'univers... Elle ne se
croyait pas capable de chanter juste, d'après quelques mauvais souvenirs d'école primaires qui lui
restaient, mais elle voulait simplement réessayer, pour se libérer, par la même occasion, de ces
paroles lancinantes qui lui alourdissaient la tête...
Ouvrant la fenêtre, escaladant invraisemblablement le mur de la façade en s'agrippant aux recoins
des briques rouges jusqu'à s'en écorcher les mains, elle sortit de la maison par le côté sud, et s'enfuit
en courant, grelottant dans la froideur de la fin d'hiver, en pleine nature...
Seule dans un pré, perdue, incapable de décrire le sentiment si étrange qu'elle ressentait, inspirant
l'air pur et gelé, elle se mit soudainement, et enfin, à chanter... Elle marchait doucement, pieds nus
sur l'herbe humide et glacée, en débitant toutes les fameuses paroles... Sa voix était juste, même
plutôt agréable, cristalline et joyeuse comme une voix de petite fille, chose dont elle fut bien la
première surprise...! Elle avançait au même rythme que ses chansons, elle se libérait...
Au bout d'un long moment, essoufflée, elle dut s'arrêter et s'assit quelques instants dans l'herbe...
Elle se rendit compte qu'elle avait encore son sac sur le dos, ayant oublier de l'ôter dans la tempête
de cette dispute, et une étrange envie lui vint soudain, traversant son esprit comme un éclair...
- « Je veux lui ressembler! », murmura-t-elle.
Et comme prise de folie, elle sortit un miroir de son sac et une paire de ciseaux... Elle coupa d'un
coup sec plus de la moitié de ses longs cheveux clairs, tournant ensuite ce qu'il en restait autour de
ses doigts pour former des boucles anglaises, tout cela en murmurant :
- « Elle est si belle...! ».
Elle plongea spontanément les mains dans la terre dure mais friable, comme si elle ne se rendait
même pas compte de ce qu'elle faisait, et éparpilla la poudre sombre dans sa chevelure, comme pour
l'assombrir... Elle cerna ensuite ses yeux et colora ses lèvres de la même substance inhabituelle, puis
elle se releva et se mit à déchirer sa robe...
L'air pathétique dans ses haillons, avec son visage de moribonde et ses cheveux ébouriffés, petite
va-nu-pieds gothique et misérable, elle continua à avancer lentement, en chantant... Elle avait même
un petit sourire aux lèvres...
Elle arriva ainsi jusque dans la cour d'un lycée...
Et c'est alors qu'elle La rencontra...
Une jeune fille petite et frêle, à peine plus âgée qu'elle, ses longs cheveux au vent, traversait, un
carton à dessin sous un bras, un petit livre à la couverture blanche dans l'autre main... Seule, Elle
regardait le soleil qui commençait à se coucher, avec de grands yeux vaguement triste, surtout
quand elle baissait pensivement les tête vers les autres, tous au moins à deux, et qui riaient... Elle,
l'Auteure qui avait décidé de troquer son prénom contre celui d'une étrange fée espagnole, Elle qui
se contentait de sa propre compagnie, et bien sûr aussi de celle de sa partenaire, la Fantasy,
songeuse, elle pensait à la sortie en pourparlers de son second livre... Avait-Elle aussi dans son lycée
des filles qui ressemblaient à celles des illustrations, Elle, qui depuis à peine quelques mois, s'était
soudainement retrouvée projetée dans le même tourbillon musicale qu'elle, se demandait Alice?
Dans le fond, qui était-elle vraiment, sa Bonne Fée?
C'est alors qu'heureuse de trouver enfin ce dont elle rêvait depuis si longtemps : quelqu'un
partageant ses goûts, la Fée rêveuse qui évoquait si souvent dans ses textes les liens si étroits entre
les auteurs et les protagonistes de leurs romans, ainsi que les volontés de vouloir ressembler à une
autre, être une autre, et les destins de toutes « celles qui sont différentes », accueillit à bras ouverts
son nouveau personnage qu'Elle embrassa et serra contre son coeur...
Leurs coeurs enfin réchauffés, à deux, elles vécurent des mois de bonheur intense, d'une amitié et
d'une passion d'une force comparable à celle de l'amour... Pendant que l'Auteure, inspirée, créé
toujours plus, Alice découvrait enfin en toute liberté son Pays Aux Merveilles, aux côtés de
quelqu'un en accord avec elle, qui la comprenait, consentait à ses choix, et la conseillait et la
renseignait même d'avantage sur les artistes les plus talentueux...
Cependant, ce bonheur sans tâche était trop beau pour durer éternellement... L'Auteure, si attachée
aux relations personnages-écrivains, adorait jouer avec les siens et user de son imagination fertile et
délirante sur eux et leurs destins, c'était bien connu...! Dans sa folie créatrice, agissant dans l'instant
sans réfléchir à rien d'autre qu'à faire l'histoire la plus élaborée possible, adorant les fins tragiques
comme beaucoup d'auteurs fantasy, elle était capable de tout... C'est ainsi que pour les besoins d'un
concours de nouvelles d'une certaine académie d'Amiens, en août 2011, mutée en une écrivaine
délirante vivant dans le futur et ne voyant que par la littérature manuscrite, Alice mourut des mains
et noyée sous les larmes de son Auteure, suicidée contre son gré... Depuis ce temps, réalisant trop
tard toute l'horreur de son action, Elle ne se remet plus de sa peine, et se réfugie alors toujours au
plus profond des mêmes étranges musiques, auprès de nouvelles voix... Indifférente à la compagnie
de l'âme d'Alice qui revient la voir chaque nuit pour l'avertir des dangers des musiques
merveilleuses, des filles aux allures d'héroïnes gothiques et des regards et chansons des hommesféetauds,
elle reste sourde et aveugle, en cherchant toujours plus... Assise n'importe où, un carnet
sur les genoux, elle griffonne sur le papier :
Je me suis laissée emporter très loin,
Par celles que tout le monde ne voient pas bien,
Mais moi, je m'y plais plutôt bien!
J'ai enfin trouvé,
Ce que je cherchais,
Des choses qui font rêver!
Peu importe,
Ce que pensent les autres,
J'assume et garde la tête haute!
En attendant,
Que passe, de ma vie, le temps,
Au rythme de leurs chants,
Moi je voudrais bien,
Devenir comme elles!
Je veux fasciner, je veux être vue de loin,
Je veux être belle,
Je veux être éternelle!
Je suis une nouvelle Eve,
Qui je veux, de la réalité, une trève,
Je veux savoir chanter mes rêves!
Je resterais là, agenouillée,
Bien sage, prosternée
Aux pieds,
De mes soeurs,
De coeur!
Admirative,
Contemplative,
Sans les entendre, sans leurs voir, sans elles,
Je ne sais plus vivre...
Elles sont mes étincelles,
De la magie pure, sur Terre, quelques parcelles,
Et je voudrais plus que tout devenir comme elles...!
Et quand on veut,
On peut!
Peut-être arrêtera-t-elle ainsi un jour d'écrire des histoires tristes?

Hada.

(record re-re-re-rebattu!!!!!!!!!!!!!!!!!)

Oui, record battu, en effect x')
Je lirais ton texte plus tard par contre, pq là je dois allée manger chez une tante, si je commence, je vais arriver en retard! x')

Je vais tout lire ce soir !

Moi je le lirais demain finalement, désolée, mais je viens de rentrée et je suis cassée!!

OK, je comprends, ne vous inquiétez pas...j'attends!! Qui a dit que je postais des textes pour décourager et embêter le monde??

Ouahoouu ! j'adore bravo a toi, ton histoire est triste et touchante, le poeme de fin est très beau j'aime beaucoup, il faudrait que la mere apprenne a ecouter d'avantage sa fille .. L'accepter comme elle est, ce n'est pas a la mere de choisir ce que doit etre sa fille, il faudrai qu'elle y reflechisse... En tout cas Alice semble se libérer ...

@Ruby : MERCI! Comme tu dis, les mots EXACTS, rien à ajouter....si ce n'est que je suis Alice dans toutes la prmeières parties (avant la fenêtre, évidemment!), que j'ai tout connu, et que moi, malheureusement, je ne peux pas me libérer.... Sauf en écrivant une belle histoire... Ce n'est pas si triste, finalement, cet écrit, par rapport à la vraie vie.... C'est limite si j'aimerai vivre toute la suite aussi....

Trooooop bien!

En effet, on vois bien l'autobiographie (dans le personnage d'Alice, mais aussi dans l'auteur). Ca touche un peut a du narcissisme
C'est vraiment chouette, par contre, je pense que la mère ne comprend pas, elle a peur que ça fille tombe dans un milieu de débauche, gotique, drogue et tout ce qu'on veux... Alors que la fille a plus l'aire de vouloir s'enfermer dans un monde magique, enfantin, féerique.
Les deux au final on la même peur... Perdre la petite Alice. Si elle pouvais arriver à le comprendre

Merci!! Oui, je suis dans les deux persos, et tu as tout compris...mais pourquoi "Narcissisme"? Pas très flatteur, ça....!

j'adore tes dessins ;) ils sont super ;)
Je lirais tes histoires dans la semaine, mais les début que j'ai pu lire sont sympa ;)

Je viens de regardé les illustration de Victoria, et en fait si je connais déjà certaines de
ses illustrations ;) mais j'ignorais que c'était elle ;)

MERCI!!
Et alors j'attends ton avis pour le reste...Mais là, vu que la rentrée est demain pour moi, je stresse cal le calvaire va reprendre et espère pouvoir encore venir parmi vous....?

bon courage pour demain alors ;)

Bein écoute merci...mais tu sais, ce n'est pas tout rose... Je vous tiendrai tous au courant, promis....Mais je suis habituée : je suis "la moche" depuis la maternelle, alors...

c'est bien la mentalité des c*** ça. j'ai horreur de ça, qu'on juge les gens sur leur apparence, j'en avais pleins dans ma promo cette année. Je suis tout coeur avec toi.

Ah bah ça...je ne te le fais pas dire... Et je confirme, car même ma mère m'a engueulée à cause de mon look avant de partir...Pas mal quand on est déjà bien mal à l'aise....

bon courage, ah les parents j'ai vécu ça, jusqu'au jour on j'en ai eu marre qu'ils me le fasse remarquer et je leur ai dit que si je m'habillais comme ça, c'est parce que je m'y sentais bien, et que j'allais certainement m'habiller comme ils le voulaient juste pour me fondre dans le moule.

Ah bah, je vois que nous avons de quoi nous comprendre...!
Bravo pour ce que tu as réussi à faire!! Comment tu as fait? Et à quel âge? Et t'as un style particulier, quelque chose de spécial? Car moi en plus, pas tant que ça, c'est surtout les miens qui sont très excessifs dans l'autre sens et ne rêvent que de simplicté, de naturel, de norme, et trouvent SCANDALEUSES pratiquement toutes les allures de tous les passants dans la rue... Si ils savaient que j'aime HBC, là, je crois que je serai mise à mort....car ma mère m'a déjà fait des sales reproches en me disant : "On dirait Helena avec cette coiffure!" après l'avoir vue dans un film qu'elle a évidemment détesté (que j'avais osé rajouter à une liste d'oeuvres à étudier pour le lycée pour pouvoir ENFIN le voir...) : elle avait décidé d'aller se plaindre au lycée, mais mon manuel de philo m'a sauvée il y a quelques heures : un titre de film de Tim Burton y figure, ce qui l'a faite dire : "Et bien c'est au programme! Je ne peux rien dire!!" Et pour une fois, je suis LA GAGNANTE, ça change tellement...!

;) oui tout a fait

Eu l'âge je ne sais plus trop 19/20 ans je pense et le comment, je peux vite m'énerver et le fait qu'on me l'est redis trop souvent ça m'a gonflé et j'ai tout sortie (pas forcement de la bonne façon, mais après ça mes parents ne m'ont plus trop souler) Spécial je ne sais, je m'habille souvent en noir (même si je commence à mettre un peu plus de couleur), et surtout je ne supporte pas robes et jupes (au désespoir de mes parents) Mais pour moi pas besoin d'avoir une robe pour faire fille. Comme toi je ne porte pas forcement de vêtements excessifs. Juste ce que j'aime.
non moi pour ça mes parents ne me soule pas avec HBC (heureusement sinon je crois que j'aurais tout fait pour me casser de chez moi). J'espère que ça ira avec ta maman. Oui heureusement que ton programme est là. C'était quoi comme film (si je puis me permettre, mais tu n'es pas obligé de répondre ;) )
En tout cas bon courage

Bienvenue

Merci! Nous pouvns faire connaissance quand tu veux!

tu parle à qui? je suis perdu là

@Bellabitch qui m'a dit "Bienvenue"!!!